- Lettre
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« J’ai ma maison dans le vent sans mémoire J’ai mon savoir dans les livres du vent, Comme la mer, j’ai dans le vent ma gloire, Comme le vent j’ai ma fin dans le vent. » Lanza del Vasto. Bonjour les amis, J’ai plaisir à vous retrouver sur le site du tapis de poésie, après quelques péripéties…. J’en ai perdu au vol…
Lettre N°32 « Je me souviens très bien d’une journée en avril. C’était un samedi matin (…) C’était le premier jour du printemps. L’air était doux et j’étais empli de joie, de bonheur de dire au revoir à l’hiver et tout d’un coup j’avais l’inspiration d’écrire un poème (…) et j’ai acheté un petit carnet et un crayon et puis…
Lettre N° 31 « Voir la beauté du monde et la redonner à ceux qui nous entourent » Vincent et Anne. Janvier 2007 Vincent Guiro, artiste peintre, graveur, sculpteur, nous a quitté en décembre. En hommage à ce qu’il a pu représenter dans la durée, pour l’artiste que je suis, de soutien spirituel, j’ose encore, avec vous, partager ce vœu…
Lettre N°30 « Vie, qu’es-tu donc ? Peut-être la réponse se love-t-elle au creux de la question, de l’étonnement qu’elle recèle. La clarté vitale s’affadit-elle pour se transformer en ténèbres dès lors que nous cessons de nous étonner, de nous interroger et que nous envisageons la vie comme une banalité ? » Jon Kalman Stefanson Entre terre et ciel. ed. folio p.…
Lettre N°29 « Ce retour doit nous rendre chevelu pour les étoiles, et non nous faire balayer la terre de nos possessions élémentaires » ☛ Bruno Pinohard, Pour un grand renversement Bonjour et bonne rentrée ! Exposition DESMAZ Du 16 septembre au 8 octobre 2023 Gravures, monotypes, vidéos, livres Ouvert le weekend de 14h à 20 h VERNISSAGE samedi 16 septembre à partir de…
Lettre N°27 Aux saintes, temps gris, sable gris, flamants roses. Jour qui tombe. Derniers sous pour acheter des gaufres. Le tamaris noir dessine avec ses branches une forme de cœur. Aux générations de musiciens, de gitans, de poètes, une dernière offrande de cendres ou de sable. Paysages oniriques, routes « tracées par les sabots des chevaux sauvages dans les boucles des rivières“…
Lettre N°26 Profondément impuissante à faire que ce qui n’est pas, soit et que ce qui est, ne soit pas quelque chose se transforme en mon for intérieur L’or du souvenir transmet sa flamme au présent et l’éclaire Derrière le chagrin flotte quelque chose de paisible comme une barque derrière un bateau rescapé de la tempête Comme si tu venais…